Au pays des Dinos, rien de bien neuf à l’horizon : les personnages qui ont jusque là assuré le succès de la franchise répondent à l’appel et remplissent comme il se doit leur fonction comique (pas de panique : Scrat est toujours à la poursuite de son gland!). Si du côté de l’animation, c’est toujours moins bien que chez Pixar, que ce soit d’un point de vue des formes, des textures ou de la mise en scène, on ne peut nier que le spectacle assure sans jamais défaillir.
Le discours familial est ultra convenu dans le cadre d’un divertissement pour tous, mais les séquences d’action s’enchaînent quasiment non-stop et renouvellent systématiquement l’intérêt du spectateur (joli clin d’oeil à Braveheart). L’âge de glace 4 – La dérive des continents conviendra aussi bien au jeune public – si l’on en croit l’hilarité de nos chères têtes blondes – qu’aux adultes qui apprendront les origines de la tectonique des plaques et le secret de l’Atlantide (Scratlantide, en fait). Pas si sûr que le film s’oublie rapidement : on est à peu près certains que nos progénitures voudront se le repasser en boucle quand il sortira en vidéo !
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