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Auteur : Jean-Luc LE GUENNAN

Julian, de Robert Charles Wilson (Denoël)

Si l’on devait baptiser l’ennui en littérature, le prénom Julian s’imposerait avec évidence. 592 pages et des milliers de mots à me dire : «Au chapitre

Les infidèles

Sept réalisateurs posent sept regards sur l’infidélité masculine. Entre franches rigolades tendance grivoise parsemées de scènes de sexe assez explicites et des dialogues plutôt bien

Les nouveaux chiens de garde

«Le fait divers fait diversion» déclarait en 1996 Pierre Bourdieu à propos du contenu des journaux télévisés. Mais il nous divertit de quoi ? Et

Le Havre

«OCNI» comme objet cinématographique non identifié. D’aucuns diraient – sans ironie bien sûr – que ce film appartient au style «finlandais», d’autres affirment, en sortant

L’homme démoli, d’Alfred Bester (Folio SF)

Le temps qui précède la lecture d’un classique de littérature SF est toujours particulier. Nous regardons l’objet avec curiosité, scrutons la couverture, détaillons la quatrième

The Kills au Bikini

La question est la suivante : le «fan» peut-il écrire un bon article sur l’un de ses groupes préférés qui passe en concert dans sa ville ? Après

7 clones, de Louis & Stéphane de Caneva (Delcourt)

Pour ceux qui découvrent le série des «Sept», nous rappelons les principales contraintes proposées par son initiateur David Chauvel à ses confrères scénaristes : mettre

Mysterium, de Robert Charles Wilson (Folio SF)

Il n’est pas forcément rassurant de voir s’implanter à côté de chez soi un laboratoire d’Etat où se croisent blouses blanches et tenues kaki. C’est

[De bon matin] Entretien avec Jean-Marc Moutout

Versatile Mag : D’où vient l’idée du film ? Jean-Marc Moutout : J’avais entendu une brève à la radio en juillet 2004, qui reprenait l’événement du

De bon matin

Paul, la petite cinquantaine, est un cadre de banque à la carrière irréprochable. Embauché dans son entreprise il y a plus de 20 ans, il a

Le cochon de Gaza

Un cochon qui pourrait rapprocher un Palestinien et une Israélienne… C’est le propos, pour le peu osé, du très bon film de Sylvain Estibal : « Le

Lise (Cinq 7)

Nom : Lise par Lise. C’est avec ce titre qui affiche fièrement et simplement l’identité de l’artiste que la chanteuse nous propose son premier album.