La Fameuse invasion des ours en Sicile
Qui sommes-nous ? Qui voulons-nous être et devenir ? Comment considérons-nous l’autre ? Que faire du pouvoir une fois qu’on l’a acquis ? La Fameuse invasion des ours en
Qui sommes-nous ? Qui voulons-nous être et devenir ? Comment considérons-nous l’autre ? Que faire du pouvoir une fois qu’on l’a acquis ? La Fameuse invasion des ours en
Ad Astra, vers l’infini et au plus profond de l’âme humaine Ces dernières années, l’espace semble être devenu au cinéma le dernier refuge offert à
Après Territoires, sorti en 2011, Olivier Abbou signe un nouveau long-métrage aux allures d’home invasion inversé. Présenté en compétition internationale à l’Etrange festival 2019, Furie est
Le château de Cagliostro est l’adaptation d’un manga et d’une série télé dont le personnage principal est Lupin III, inspiré du fameux gentleman cambrioleur de
On reprochera énormément de choses au remake de Suspiria, chef-d’œuvre du grand Dario Argento, par la hype de l’année Luca Guadagnino (auteur aussi de Call
La comédie, sur nos exigeantes terres peut-être plus qu’ailleurs, est un périlleux exercice dont peu de cinéastes et de comédiens parviennent à sortir avec les
Enfants, nous rêvons pour la plupart d’un amour qui soit juste et évident, d’une personne dont le regard nous transpercera et qui finira par partager
Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes depuis 2007, nous avait prévenus : n’en déplaise à certains critiques et autres demi-Dieux de l’Olympe du cinéma
Voir en-dessous du lac d’argent, voilà ce que nous propose ce nouveau long-métrage de David Robert Mitchell, en Sélection Officielle à Cannes cette année. Il
Comme tout assassin, Jusqu’à la garde est un film froid, qui conserve la maîtrise de son dessein, implacable jusqu’à la foi. Dominatrice et rigoureuse, son
Avec Phantom Thread, Paul Thomas Anderson remet le sentiment amoureux au cœur de son système et livre un grand film sur la contamination des modèles
Après un enthousiasme d’enfant qui nous avait poussé à bien des complaisances face à un épisode VII en deçà de tout ce que l’on pouvait
Avec La lune de Jupiter, Kornel Mundruczo se perd dans un essai formaliste gênant au regard de son sujet : le sort des migrants opprimés et
Avec « En attendant les hirondelles », Karim Moussaoui se pose en chef de file de la nouvelle génération du cinéma algérien et offre un film puissamment
Avec Jeune femme, Léonor Serraille filme le renouveau d’une trentenaire moderne, fantaisiste et éprise de liberté. Caméra d’Or au dernier Festival de Cannes. Paula vient
L’insoumis Dupontel rentre dans le rang et perd en nervosité avec Au revoir là-haut, fresque patrimoniale engoncée dans ses habits de lumière. Au revoir là-haut,
La projection inédite du film Grandeur et décadence d’un petit commerce de cinéma de J.L. Godard sur grand écran, nous plonge dans l’univers du
Inhabitable cathédrale Voilà quelques années que nous surveillons Denis Villeneuve, grand réalisateur sans chef-d’œuvre, qui nous divertit brillamment à chaque salve sans jamais parvenir à
Avec Mon garçon, Christian Carion adopte le parti-pris filmique d’une œuvre ultra-réaliste, fulgurante et urgente. Le film a été tourné en l’espace de six jours,
Avec Barbara, Mathieu Amalric fait imploser le traditionnel biopic pour une nouvelle forme de narration toute en trompe l’œil. Devant l’objectif, Jeanne Balibar joue Brigitte
Cet été, le Japon est à l’honneur avec la sortie des deux versions restaurées des films de Mikio Naruse, Nuages épars et Au gré du
Avec Les proies, Sofia Coppola nous offre, derrière la relecture apparemment sage du classique de Don Siegel, un film ambigu et vénéneux parfaitement fidèle à
Il s’agit toujours du plaisir. Il s’incruste dans nos chairs, s’enracine dans nos pensées, se pétrifie dans nos rêves, se grave d’un ton exquis. Ça
La planète des singes : Suprématie clôt, de la meilleure des façons, la trilogie simiesque en empruntant les voies de la tragédie biblique et de l’apocalypse.