Phantom Thread
Avec Phantom Thread, Paul Thomas Anderson remet le sentiment amoureux au cœur de son système et livre un grand film sur la contamination des modèles
Avec Phantom Thread, Paul Thomas Anderson remet le sentiment amoureux au cœur de son système et livre un grand film sur la contamination des modèles
Avec La lune de Jupiter, Kornel Mundruczo se perd dans un essai formaliste gênant au regard de son sujet : le sort des migrants opprimés et
Avec « En attendant les hirondelles », Karim Moussaoui se pose en chef de file de la nouvelle génération du cinéma algérien et offre un film puissamment
Avec Jeune femme, Léonor Serraille filme le renouveau d’une trentenaire moderne, fantaisiste et éprise de liberté. Caméra d’Or au dernier Festival de Cannes. Paula vient
L’insoumis Dupontel rentre dans le rang et perd en nervosité avec Au revoir là-haut, fresque patrimoniale engoncée dans ses habits de lumière. Au revoir là-haut,
Avec Barbara, Mathieu Amalric fait imploser le traditionnel biopic pour une nouvelle forme de narration toute en trompe l’œil. Devant l’objectif, Jeanne Balibar joue Brigitte
Avec Les proies, Sofia Coppola nous offre, derrière la relecture apparemment sage du classique de Don Siegel, un film ambigu et vénéneux parfaitement fidèle à
La planète des singes : Suprématie clôt, de la meilleure des façons, la trilogie simiesque en empruntant les voies de la tragédie biblique et de l’apocalypse.
Avec The Last Girl, celle qui a tous les dons, Colm McCarthy propose une relecture sage du jeu vidéo, The Last of us, loin d’atteindre
Avec Ava, Léa Mysius filme le parcours initiatique d’une jeune fille atteinte d’une maladie dégénérative et réussit un premier film d’une beauté foudroyante bien qu’inaccompli.
Avec Free Fire, Ben Weathley déconstruit le film de fusillade en y injectant une bonne dose de cartoon. Une vente d’armes clandestine, un hangar, des
Avec Marie-Francine, Valérie Lemercier livre une comédie sociétale pétrie de personnages truculents mais se laisse aller à un cinéma un peu daté et simpliste malgré
Avec Psiconautas, premier long-métrage d’animation, Alberto Vazquez et Pedro Rivero privilégient la singularité de leur univers à la justesse narrative et l’émotion. Au large des
Avec Message from the king, Fabrice du Welz fait une revisite timide de la série B d’exploitation mais avec un sens certain de l’efficacité. En
Avec Alien : Covenant, Ridley Scott livre une partition convenue et paresseuse qui plonge la légendaire saga dans le bain des simples franchises de studio. Après
Avec Sayonara, Kôji Fukada nous offre un chef d’œuvre crépusculaire d’anticipation où la mort, le temps et la beauté se confrontent dans une équation ultra
Avec Tunnel, Kim Seong-Hoon revisite le film catastrophe et livre un blockbuster coréen qui a de la tenue malgré ses imperfections. Pari presque réussi. Kim
Avec I am not your negro, Raoul Peck livre un documentaire puissant et universel sur les fondements de la société américaine en menant une réflexion
Après la tempête d’Hirokazu Kore-Eda, le portrait magnifique d’un perdant face au deuil de ses illusions. Ryota est submergé par le deuil. Le deuil de
Corporate de Nicolas Silhol, un premier film à moitié réussi sur les méthodes mortifères du management et les rapports humains en entreprise. « Il faut marquer
En trois plans introductifs, la magie du cinéma d’Aki Kaurismaki opère immédiatement. La mer, un port, celui d’Helsinki, puis un homme, enfoui dans un tas
Avec Grave, Julia Ducournau explore les métamorphoses d’une jeune fille au désir réprimé et livre un film physique et frontal en malaxant cannibalisme, pulsions sexuelles
Avec Le secret de la chambre noire, Kiyoshi Kurosawa livre une réflexion conceptuelle sur l’image et le cinéma d’une grande beauté mais se perd dans
Avec le très réussi Logan, James Mangold offre un western crépusculaire ultra-violent à Hugh Jackman, en guise d’adieu au personnage de Wolverine, Logan est fatigué,