Sur la piste du Marsupilami
Avec Sur la piste du Marsupilami, Alain Chabat confirme son talent de grand réalisateur/acteur populaire dans le plus noble sens du terme. En puisant dans
Avec Sur la piste du Marsupilami, Alain Chabat confirme son talent de grand réalisateur/acteur populaire dans le plus noble sens du terme. En puisant dans
Il se produit à l’issue de la conférence de presse toulousaine pour le film Sur la piste du Marsupilami quelque chose d’inattendu. L’exercice se déroule généralement
«Vous êtes des privilégiés, Mesdames, Messieurs ! J’ai refusé cette interview à des dizaines de journalistes». Voici en substance les mots d’accueil du directeur du Gaumont
Sept réalisateurs posent sept regards sur l’infidélité masculine. Entre franches rigolades tendance grivoise parsemées de scènes de sexe assez explicites et des dialogues plutôt bien
Versatile Mag : Pouvez-vous nous parler de votre parcours personnel, de ce qui vous a amené au cinéma et à ce film-là en particulier ? David Dusa
Fleurs du mal est un film qui existe dans un modèle (la technique, les moyens) très léger qui en fait un objet à la fois
Versatile Mag : Sandrine, qu’est-ce qui vous a intéressé dans ce rôle ? Sandrine Kiberlain : En refermant le scénario, c’était une évidence que je voulais jouer cette
Anne vit seule dans un appartement sordide à Bordeaux et travaille dans une cuisine de collectivité. Le premier plan qui nous présente le personnage la
Versatile Mag : Parlez-nous de votre parcours. Cyril Mennegun : J’ai eu une scolarité très compliquée, redoublé plusieurs fois ma sixième et ma troisième avant de
A priori, Louise Wimmer avait tout du projet casse-gueule : alibi social, esthétique semi-documentaire, performance d’actrice qu’il faut saluer comme il se doit à moins d’être
Versatile Mag : Quelle est l’idée de départ ? Christophe Ruggia : Mon idée était avant tout de rendre un hommage au film noir, celui des années trente
Dans la tourmente : voilà un terme qui qualifierait assez justement ce qu’on pense du scénario du nouveau film de Christophe Ruggia. Si l’on ne
«Le fait divers fait diversion» déclarait en 1996 Pierre Bourdieu à propos du contenu des journaux télévisés. Mais il nous divertit de quoi ? Et
Chaque année, à la période des Fêtes, on observe traditionnellement de drôles de comportements : les gens se ruent dans les magasins qui sont déjà bondés
«OCNI» comme objet cinématographique non identifié. D’aucuns diraient – sans ironie bien sûr – que ce film appartient au style «finlandais», d’autres affirment, en sortant
Après Hunger, son coup d’essai tétanisant, d’une violence et d’une force inouïes, Shame est le deuxième film «de prison» réalisé par Steve McQueen. Non pas
Après l’extatique Hunger, caméra d’or à Cannes, Steve McQueen nous livre Shame – «Honte» – avec Michael Fassbender (Brandon Sullivan) et Carrey Mulligan (Sissy Sullivan).
Déjà, ne pas se fier au titre du film ni à son affiche poétique qui montre un jeune ado en habit d’écolier japonais reposer sur
Au sein de l’industrie hollywoodienne, Steven Soderbergh est une figure prépondérante mais également à part. Il a obtenu la palme d’or à seulement 26 ans
Mathieu Kassovitz a besoin de sujets forts pour donner la pleine mesure de ses talents de metteur en scène, de conteur et de polémiste. C’était
Versatile Mag : Comment est née l’idée du film ? Robert Guédiguian : Le film est inspiré du poème de Victor Hugo, Les pauvres gens. J’avais écrit une
Versatile Mag : D’où vient l’idée de réaliser ce film ? Mathieu Kassovitz : Cette histoire m’est venue d’une enquête qui a été faite en 1989 par la
Spielberg qui réalise une aventure de Tintin, cela ressemblait tellement à une évidence qu’on ne voyait absolument pas qui d’autre aurait pu adapter sur le
Versatile Mag : Denis Côté, vous avez d’abord été critique de cinéma, cela influence t-il votre cinéma ? Denis Côté : Il est sûr que j’ai