Nuages épars & Au gré du courant
Cet été, le Japon est à l’honneur avec la sortie des deux versions restaurées des films de Mikio Naruse, Nuages épars et Au gré du
Cet été, le Japon est à l’honneur avec la sortie des deux versions restaurées des films de Mikio Naruse, Nuages épars et Au gré du
Avec Les proies, Sofia Coppola nous offre, derrière la relecture apparemment sage du classique de Don Siegel, un film ambigu et vénéneux parfaitement fidèle à
Il s’agit toujours du plaisir. Il s’incruste dans nos chairs, s’enracine dans nos pensées, se pétrifie dans nos rêves, se grave d’un ton exquis. Ça
La planète des singes : Suprématie clôt, de la meilleure des façons, la trilogie simiesque en empruntant les voies de la tragédie biblique et de l’apocalypse.
500 ans après sa disparition, Jérôme Bosch, l’un des plus grands peintres flamands continue à intriguer avec une œuvre aussi fascinante qu’énigmatique, aux interprétations multiples.
Avec The Last Girl, celle qui a tous les dons, Colm McCarthy propose une relecture sage du jeu vidéo, The Last of us, loin d’atteindre
Avec Ava, Léa Mysius filme le parcours initiatique d’une jeune fille atteinte d’une maladie dégénérative et réussit un premier film d’une beauté foudroyante bien qu’inaccompli.
Avec Free Fire, Ben Weathley déconstruit le film de fusillade en y injectant une bonne dose de cartoon. Une vente d’armes clandestine, un hangar, des
La morgue est le lieu symbolique d’un passage à un autre, véritable entre-deux qui a souvent fasciné l’art en général. On songe notamment aux célèbres
Avec Marie-Francine, Valérie Lemercier livre une comédie sociétale pétrie de personnages truculents mais se laisse aller à un cinéma un peu daté et simpliste malgré
Thierry Frémaux, ses prédécesseurs et les organisateurs du Festival de Cannes en font leurs choux gras et leur moteur médiatique depuis maintenant des décennies. Les
Le réalisateur d’un film, son équipe technique et ses acteurs doivent accomplir, pour qu’une idée de l’oeuvre puisse tendre vers son incarnation, une transfusion dans
Avec Psiconautas, premier long-métrage d’animation, Alberto Vazquez et Pedro Rivero privilégient la singularité de leur univers à la justesse narrative et l’émotion. Au large des
Avec Message from the king, Fabrice du Welz fait une revisite timide de la série B d’exploitation mais avec un sens certain de l’efficacité. En
Avec Alien : Covenant, Ridley Scott livre une partition convenue et paresseuse qui plonge la légendaire saga dans le bain des simples franchises de studio. Après
Avec Sayonara, Kôji Fukada nous offre un chef d’œuvre crépusculaire d’anticipation où la mort, le temps et la beauté se confrontent dans une équation ultra
Avec Tunnel, Kim Seong-Hoon revisite le film catastrophe et livre un blockbuster coréen qui a de la tenue malgré ses imperfections. Pari presque réussi. Kim
Avec I am not your negro, Raoul Peck livre un documentaire puissant et universel sur les fondements de la société américaine en menant une réflexion
Après la tempête d’Hirokazu Kore-Eda, le portrait magnifique d’un perdant face au deuil de ses illusions. Ryota est submergé par le deuil. Le deuil de
Quand l’Art se fait Preuve Le cinéma – surtout celui du brillant Alberto Rodriguez – ne fait que chalouper entre réalité teintée d’influences politiques, culturelles,
Corporate de Nicolas Silhol, un premier film à moitié réussi sur les méthodes mortifères du management et les rapports humains en entreprise. « Il faut marquer
Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos, Solène Rigot et Vega Cuzytek… Quatre actrices. Quatre femmes, quatre corps et quatre auras pour une proposition de cinéma novatrice et
La bande annonce de Ghost in the Shell était alléchante : Scarlett Johansson à poil en permanence, un univers joliment retranscris et des scènes d’actions réussies.
Quelque chose de pervers se loge en chacun de nous, lorsque l’on s’assied sagement, innocemment dans le cadre moelleux des fauteuils rouges d’une salle de