Zero Dark Thirty
Nul doute qu’au-delà même du débat sur la torture qu’il soulève, Zero Dark Thirty est un film qui clivera l’audience car il fait l’état des
Nul doute qu’au-delà même du débat sur la torture qu’il soulève, Zero Dark Thirty est un film qui clivera l’audience car il fait l’état des
Ce qui surprend systématiquement avec Quentin Tarantino, c’est la façon dont il déjoue toujours les attentes initiales du spectateur. Quand il annonce le projet Grindhouse
Mundane History n’est pas un film qui agira instantanément sur chacun, mais dont les ruptures de ton et le mystère qu’il instille produiront plutôt un
Métamorphose du corps, mutations de la chair, déshumanisation, désincarnation des personnages, autodestruction, culte des sociétés secrètes, névroses psychotiques, fantasmes morbides et sexe clinique : pas de
Une prise d’otage, voilà le sentiment de spectateur que nous a laissé Les bêtes du Sud Sauvage. Prototype même du cinéma indépendant à l’imagerie « Sundance »
Comment succéder à La guerre est déclarée ? Quelle proposition de cinéma après un film qui a obtenu un tel succès, à la fois public et
Il faudra se résoudre à considérer que Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre est la seule bonne adaptation des bande-dessinées d’Uderzo et Goscinny. Pourtant, le film
L’étrange créature du lac noir convoque instantanément le souvenir de sa première diffusion en 3D à la télévision française, dans le cadre de La dernière
S’il est bien un genre du cinéma espagnol qui n’est pas moribond, c’est bien celui de l’horreur et du fantastique. Il affiche au contraire une
De la cécité comme symbole commode d’un personnage qui refuse littéralement de voir le monde qui l’entoure. Emma a 29 ans, elle est aveugle mais
Il en va du cinéma comme de la littérature : l’incipit a son importance, il annonce ce qui va suivre, pose le ton, définit le style.
Si Terrados prend racine dans la réalité de la crise économique espagnole d’aujourd’hui, il n’en sombre pas pour autant dans les travers d’un cinéma dit
«On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille» – Enième pellicule sur les difficultés de l’adolescence et le délicat passage à l’âge adulte,
En l’espace de seulement trois films, Mamoru Hosoda est en train de s’imposer doucement mais sûrement comme l‘un des noms les plus essentiels du cinéma
Arrêt demandé – Rien n’est plus embarrassant qu’un dispositif – cinématographique ici – qui se voudrait spontané et naturaliste et qui au contraire ne cesse
Quoi que l’on pense du cinéma de Pascal Laugier, il est impossible d’affirmer – à moins de faire preuve de beaucoup de mauvaise foi –
Tim Burton pour les nuls – A priori, L’étrange pouvoir de Norman avait tout pour séduire, l’idée d’associer le genre du cinéma d’horreur à la
On ne cesse de louer l’insolente vitalité d’un cinéma coréen dont les meilleurs représentants, Joon-ho Bong, Kim Ki-duk ou Park Chan-wook citent régulièrement Kim Ki-Young
Les liaisons faciles – Cela fait bien longtemps qu’un film ne m’a pas interrogé de la sorte au moment même de sa projection. Pour autant,
Inquiets nous étions de l’avenir de Pixar après un Cars 2 de sinistre mémoire, première véritable sortie de route du studio qui renonçait à s’adresser
«Cette scène où Mabel craque dans le film, ce sont les dix minutes de cinéma les plus fascinantes, les plus inattendues, imprévisibles que je n’ai
On vous aura prévenus : Kill List, vendu comme le dernier phénomène du cinéma anglais, n’est pas un film aimable ou confortable, mais plutôt une expérience
Il y a quelque chose de magique dans le dernier film de Bruno Podalydès, dans cette façon dont l’art de la prestidigitation – comme dans
Typiquement, The amazing Spider-man est le genre de film conçu pour de mauvaises raisons, absurdement financières et économiques, affirmant la toute-puissance d’un studio – ici