Comancheria
Avec Comancheria, David MacKenzie livre une critique amère de l’Amérique en crise sous les apparats du film de braquage en terrain hostile. Une réussite brillamment
Avec Comancheria, David MacKenzie livre une critique amère de l’Amérique en crise sous les apparats du film de braquage en terrain hostile. Une réussite brillamment
Avec Frantz, François Ozon livre une sublime adaptation de Lubitsch en revisitant les motifs de Vertigo entre secrets et mensonges. Un des très grands films
« Conneries ! »… Si l’on en juge par cette sentence prononcée dans un rire nerveux par une dame à la fin d’une séance de Nocturama, il est
Les grandes œuvres naissent le plus souvent d’un sentiment d’urgence, de la nécessité intime de voir sortir de soi un discours, un instinct, une émotion.
Le BGG – Le bon gros géant : un tout petit Spielberg Est-il si difficile d’adapter Roald Dahl au cinéma ? Auteur légendaire au Royaume Uni, la
Avec The Strangers, Na Hong Jin livre un thriller poisseux et onirique mais aussi une subtile métaphore de la société coréenne. Après les ruelles étroites
Lorsque le miel à un goût de cendres. La mort est à la mode. L’apothéose de la douleur, le triomphe de la souffrance, l’éloge de
Depuis Metropolitan, son premier film, Whit Stillman n’a eu de cesse d’effleurer le matériau littéraire. L’influence d’un certain nombre d’auteurs, au nombre desquels Fitzgerald ou
À l’orée de la rentrée 2011, la collection Blanche de Gallimard accueillait en son sein un journal, Dans les forêts de Sibérie, à travers lequel
« La beauté est ce qui reste quand on a enlevé tous les enjoliveurs. C’est l’intériorité et non l’apparence. C’est le contraire du flatteur. La beauté,
Julieta de Pedro Almodovar : un saisissant portrait de femmes transpercé par la culpabilité et la fuite du temps. En compétition officielle au Festival de Cannes
The end, de Guillaume Nicloux, un film puissant et dépouillé retraçant les derniers jours d’un homme déjà mort parmi les vivants. Guillaume Nicloux est un
Desierto, le rêve américain de Donald Trump deflagré par Jonas Cuaron Le 16 juin 2015, Donald Trump annonce sa candidature aux primaires républicaines en vue
Dans une petite ville de montagne, deux lycéens qui se détestent et n’ont de cesse de se battre entrent dans la dernière phase de leur
Masses informes que ces Ogres mis en scène par Léa Fehner dans le cadre d’une opulente adaptation de Tchekhov aussi bien que dans la vie
Midnight special : sous les allures de la SF, un très beau film de traque sur les difficultés de l’enfance et de la filiation Midnight
« Un ticket de métro, c’est moins cher qu’un ticket de cinéma. Alors si c’est pour retrouver au cinéma les dialogues du métro… Moi je n’aime
A Perfect Day – Un jour comme un autre, une mauvaise farce en décor de guerre signée Fernando Leon de Aranoa N’est pas Robert Altman
Le principal paradoxe des films catastrophes réside dans cette envie incessante de lier l’intime et le sensationnel. L’enjeu fondamental étant de trouver l’équilibre entre spectaculaire
Entre 2012 et 2015, Lemine Ould M. Salem et François Margolin (d’abord accompagnés d’Abderrahmane Sissako, qui préféra par la suite réaliser son film Timbuktu à partir de leur
Green Room de Jeremy Saulnier, maintenant l’apocalypse. Sauvage et beau. Deux ans après le formidable Blue Ruin, Jeremy Saulnier nous livre Green Room, son nouveau
Évidence absolue, Deadpool est très certainement le film le plus cool que Marvel n’ait jamais offert aux aficionados de ses paradoxes virilistes en habits fluos.
Evolution, de Lucile Hadzihalilovic, une plongée en apnée au cœur des métamorphoses de l’enfance Imaginez Vice-Versa revu et corrigé par Jonathan Glazer, réalisateur du brillant
Hong Sang Soo livre avec Un jour avec, un jour sans, un manifeste de mise en scène et se pose comme l’un des plus grands